Mon fétichiste du corset découvert

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il y a 2 ans

J’ai à l’époque de cette histoire , 35 ans, et je suis plus qu’attiré, littéralement fasciné par la vue et le contact de la lingerie féminine , et plus particulièrement de certaines pièces, du style guêpières, corsets, ou gaines ultra féminines et contraignantes...

J’ai à quelques reprises franchi le pas, et suis passé à l’acte pour me procurer le plus doux et le plus sensuel des supports de mes fantasmes, soit en achetant de la lingerie en grande surface, soit en me rendant directement en personne dans un magasin de lingerie, en mettant assuré au préalable, par téléphone, de l’état d’esprit bienveillant de la vendeuse pour de tels achats.

Mais aujourd’hui , au détour dune ballade en pleine ville, dans une ruelle un peu excentrée, jai découvert une boutique , à l’aspect assez ancien, mais coquet et bien entretenu, et dont l’enseigne m’a procuré tout de suite des frissons d’envie, et de découverte ; il était affiché : Corsets, gaines, et autres articles, standard ou sur mesure .

Je me suis approché avec une curiosité évidente de la vitrine, et mes yeux se sont régalés tout de suite, de voir une quantité de modèles , certes un peu désuets, mais qui ont immédiatement provoqué chez moi, des envies de voyeurisme, et de sensation érotique et légèrement perverse. Je ne sais pourquoi, tous ces articles, souvent de couleur chair ou grise, ou saumon ont un tel impact sur mon esprit et mes sens, mais le résultat est immédiat sur mon esprit qui s’affole à leur vue, et sur mes sens qui frissonnent d’intérêt et d’émotion.

Je reste quelques minutes à contempler ces trésors et je m’imagine déjà toucher et revêtir certains d’entre eux ; puis je me familiarise avec l’agencement de la boutique, qui déjà dans mon esprit, devient le lieu de mes fantasmes favoris. Après quelques instants de cette contemplation, un mouvement à l’intérieur de la boutique attire mon attention et mon regard ; il sagit manifestement de la maîtresse de lieux, qui évolue activement dans cet univers, se déplaçant dans l’ensemble de la boutique. Mon regard s’attarde sur elle, et je découvre une femme proche de la cinquantaine, assez grande, élégante et à l’allure fière ; les cheveux noirs tirés à l’arrière, elle est habillée sobrement , dune jupe noire qui lui arrive aux genoux et d’un chemisier bordeaux strict mais assez serré .

Cette femme est à limage de son magasin, à la fois, un peu décalée du temps présent, mais arborant une prestance un peu hautaine et fière, mais ô combien sensuelle et attirante pour quelqu’un comme moi , qui accorde une importance particulière à cet aspect vestimentaire et comportemental. Je décide de ne pas céder à la tentation trop brusque de pénétrer dans ce havre de trésors, pour mieux profiter de ma découverte. A peine rentré chez moi, je me jette sur l’annuaire pour y trouver le numéro de téléphone de cette boutique, car j’ai déjà dans l’idée de ne pas en rester là.

Au bout de trois sonneries, une voix féminine assez chaude et accueillante me répond ; je suis intimidé et troublé , mais mon envie d’en ... est immense. J expose mon intérêt à mon interlocutrice pour le genre d’articles quelle commercialise, et me jetant à l’eau, je lui déclare sans détours, que bien qu’étant un homme, je suis attiré par la lingerie féminine et qui plus est, très attiré par les articles que j’ai vus exposés dans la vitrine , et qui ne sont plus tellement courants dans les actuelles enseignes de lingerie.

Sa voix marque un peu d’étonnement, mais mon expression polie et sincère entraîne rapidement sa confiance et elle me répond quelle ne voit aucune inconvenance à mon intérêt, et même mieux qu’elle m’invite à passer au magasin, pour voir de plus près les articles qui me plaisent. Je m’enquiers de ses horaires d’ouverture, et je lui annonce ma venue pour la fin de matinée du lendemain, puisque me dit-elle, elle reste ouvert au-delà de midi.

Le lendemain, mon esprit ayant beaucoup vagabondé dans cet univers fantasmatique, je me rends fébrile et anxieux, vers ma nouvelle trouvaille et y arrive peu avant midi. Je rentre sans hésitation, et m’aperçois que je suis le seul client à cette heure là. La personne aperçue la veille vient à ma rencontre et s’enquiert de mes désirs. Je lui fais part immédiatement de mon appel du jour précédent pour m’identifier et lui dit que j’ai découvert tout récemment sa boutique et que celle-ci a attiré mon attention de part la rareté des articles présentés et mon intérêt pour ceux-ci.

Sa réaction et son attitude sont bienveillantes et très vite, s’installe entre nous un climat de confiance naturelle. Elle me demande si certains articles me plaisent plus que d’autres et déclare pouvoir me faire voir diverses pièces afin que je puisse juger par moi-même. Tout en déballant quelques boites, elle me questionne sur l’origine de mon intérêt , et cherche à savoir si cela fait longtemps que je ressens cette attirance. Elle me demande aussi si je me suis déjà procuré de la lingerie, et me dit que je ne suis pas un cas isolé parmi les hommes ; elle a déjà eu à faire à plusieurs hommes voulant acheter de la lingerie, qu’ils le déclarent ouvertement comme moi ou qu’ils s’en cachent maladroitement.

Pour moi, me dit-elle, je trouve cela tout à fait normal ; je comprends l’attirance des hommes pour des matières très sensuelles et pour des objets qui symbolisent la féminité et le désir. Aucun signe de rejet ou de mépris n’apparaît chez cette femme, et son attitude est très agréable et même complice ; et je me sens particulièrement à l’aise , en même temps qu’euphorique et prêt à tout.

Notre conversation ayant pris un tour assez personnel et complice, elle me donne son prénom : Lucie , en me précisant qu’elle travaille en tant que confectionneuse pour de grandes marques et des créateurs aussi. Ce disant , elle me montre du doigt certains modèles exposés et me dit : vous voyez, ce sont des articles que j’ai créés et vous voyez , il n’y a pas de comparaison avec ceux du prêt à porter. Je manipule au gré de ses paroles et conseils, des gaines, des corsets, des bodys, des porte-jarretelles, et mon coeur chavire de bonheur au contact des ces tous ces tissus et accessoires affriolants.

Elle observe mon trouble au gré de nos discutions et moi je l’observe elle, car je ne m’étais pas arrêté à son aspect physique, subjugué que j’étais par l’amoncellement des lingeries. Lucie est brune, grande, altière dans sa tenue, un juste assemblage de rigueur et de convivialité qui en fait une femme , certes dans la cinquantaine, mais attirante et séduisante, autant par sa sûreté d’elle-même que par sa plastique de femme mûre. Je nage dans un océan de volupté, moi qui suis sensible à cette apparence de femme à la sensualité sûre d’elle et au charme désuet et quelque peu secret.

Je lui fais part de mon attrait impulsif à la vue de tout ce quelle étale, pour les corsets couleur chair et saumon ; je lui dis que ressens des frissons à la vue et à l’idée de ce qu’ils représentent. Je sens, plus que je ne vois, son sourire, et son approbation. Mais savez-vous, me dit-elle , que pour vous, ces articles de prêt-à-porter sont immettables , inadaptés de par leur conception et à cause de votre morphologie masculine, mais , me dit-elle, par contre, je fabrique, moi, des corsets, que je peux adapter à vos mesures, à vos envies, et qui mettraient en valeur votre physique. Bien que je n’ai pas fait encore d’annotations sur cet aspect de ma personne, je sais que je possède une apparence, non d’éphèbe ou de dieu des gymnases, mais d’homme mûr, qui s’entretient, qui est élégant et dont l’attirance provient du charme qu’il dégage.

Je me range à son avis concernant le choix du corset sur mesure, et elle me convainque sans aucune peine, que nous pouvons sans délai, passer à la première étape des mesures à prendre ; puisque me dit-elle, je suis disponible maintenant, nous serons tranquilles à cette heure-là , et j’ai compris ce qui vous correspond. Je me range avec plaisir à son avis, et nous nous rendons illico à l’étage de la boutique, où elle a aménagé un salon d’essayage et de confection de ses créations.

A partir de cet instant là, immergé dans un environnement que je n’osais même pas idéaliser dans mes fantasmes et désirs, je me suis senti abandonné à la volonté de cette femme, qui comprenait si bien mes désirs et mes pulsions profondes. Je m’entends , comme dans un rêve, lui répondre , oui, à sa demande de me déshabiller dans la cabine , afin me dit-elle que nous passions à la prise de mesures. Je m’étais habillé ce jour là, de manière élégante et bcbg , pantalon décontracté, polo tunisien et pull ras de cou, le tout couleur chocolat, et surmonté dune veste saharienne écrue, qui me donnait un air élégant. Le tout fut enlevé en moins de trente secondes, et c’est simplement paré d’un boxer semi transparent gris, que je me présentai devant elle , prête à oeuvrer pour mon plus grand plaisir.

Dans un premier temps, elle parut très professionnelle, bien qu’un léger rose sur ses joues trahissait un trouble certain ; elle tourna autour de moi, sans un mot ; je sentais son regard m’évaluer, me jauger, me toucher presque, sans aucune marque de jugement ou d’appréciation ; elle était toute à sa concentration, et attentive à son désir de bien faire et de résultat positif pour nous deux. Elle posa sans annonce son mètre ruban sur ma peau, pour m’enserrer la taille et ses deux bras firent ainsi le tour de mon corps ; dans ce mouvement, elle fut si près de moi que ses épaules , puis ses mains vinrent à frôler mon torse et mes hanches.

Je sentais la chaleur de ses doigts et la douceur de sa peau alors quelle mesurait et notait les centimètres. Elle était à son aise, me faisant tourner au gré de sa volonté, et elle discourait sur la façon dont elle envisageait de faire, pour me confectionner un petit bijou sensuel. Elle me complimenta sur mon physique et me dit : Vous verrez comme ce corset vous ira bien, et vous donnera un aspect féminin ; elle appuyait en même temps sa main sur mes hanches, puis sur mon ventre, pour me montrer quelles parties du corset allaient être serrées et plaquées sur moi. Tous ces contacts ne me laissaient pas indifférents et je sentais mon désir grandir , autant du fait de la situation que du toucher quelle exerçait sur moi.

Mon caleçon comprimait maintenant fortement mon sexe qui avait pris un volume manifeste et qui tendait la fine étoffe de nylon. Une énorme bosse était visible et la transparence du tissu ne cachait que peu de chose de mon émotion. Lucie , sans le montrer avait certainement vu l’état dans lequel je me trouvai . Elle ne me fit pas de remarque, mais ses contacts suivants , avec son instrument de mesure et avec ses doigts, frôlèrent à plusieurs reprises mon membre gonflé qui émit des soubresauts impulsifs à ces occasions.

Avec ce que j’ai la, me dit elle en me montrant son carnet de mesures, je vais pouvoir travailler. Je ne vais mettre que 2 ou 3 jours, pour élaborer la première ébauche du corset ; il faut donc que vous reveniez très vite pour voir ce que cela donne sur vous et qu’on affine en fonction d’un autre essayage. On se revoit après demain à la même heure, me dit-elle sans me laisser le temps de réfléchir. J’approuvais, trop content de cette suite. Mais , me dit-elle, faites moi plaisir : ne revenez pas essayer mon corset, en portant ce caleçon. C’est un article plein de féminité que vous allez avoir sur vous ; il faut adapter votre tenue à cela ; je veux que pour votre prochain essayage, vous portiez en arrivant une jolie culotte de femme ; trouvez cela , où vous voulez, dans une grande surface, ce ne sera pas difficile ;mais prenez quelque chose de fin et sensuel qui sera davantage en harmonie, avec ce que je vais vous faire porter. Ah oui, dit elle, en plus, je compte vous accrocher des jarretelles sur votre corset, pour que vous puissiez porter des bas si vous aimez cela, alors venez en mettant des dim up ; on se rendra mieux compte de l’effet final, et vous serez plus en phase avec votre nouvelle lingerie. Et bien, à après demain, Antoine , me dit elle en souriant. Je sortis comme dans un nuage , en acquiesçant et en me demandant si je ne vivais pas un rêve ; du moins un de mes rêves les plus secrets et les plus fous.

Dès le lendemain, je m’empressai de me rendre dans le supermarché le plus proche, et je fis l’acquisition dune ravissante culotte noire, une sorte de shorty court , assez transparent et bordé de dentelle . Je rajoutai à mes emplettes une paire de bas noirs autofixants et j’attendis avec impatience le jour du prochain rendez-vous fixé. Avant de me rendre à celui-ci, je revêtis donc ces éléments et je ne pus m’empêcher, une fois paré ainsi, de me regarder dans un miroir pour voir l’effet produit.

La vision de mes jambes gainées de noir, de mon bas ventre enserré de dentelle et la sensation inhabituelle produite par ces tissus sur ma peau, me firent frissonner et ressentir tout de suite une grande excitation. Même si la transformation nétait pas complète ni radicale, je me sentais vraiment tout autre qu’habituellement. Je passais un pantalon et une chemise légère et je sortis pour me diriger vers la boutique de mes délices . La sensation que j’éprouvais dans la rue était particulièrement délicieuse ; le frottement du tissu sur ma peau à chacun de mes pas, me maintenait dans un état permanent d’excitation ; et le fait de croiser tous ces inconnus qui ne soupçonnaient pas la nature de mes sous-vêtements, rajoutait encore à mon sentiment de bien-être sensuel.

J’arrivai dans cet état d’esprit au magasin de Lucie ; celle-ci m’accueillit chaleureusement et me dit : vous allez voir, j’ai bien travaillé ces derniers jours ; nous allons pouvoir réaliser votre premier vrai essayage, puisque j’ai posé les crochets de fermeture. Bien sûr, il y aura encore des détails à reprendre, mais nous aurons aujourd’hui une idée d’ensemble. Tout en me faisant monter à l’étage, elle m’annonça aussi : il y a un seul imprévu ; j’ai une cliente qui vient d’arriver, et je dois lui faire faire un essayage aussi. Mais ne vous inquiétez pas, c’est une cliente de longue date ; je lai prévenue ; elle est donc au courant de vos goûts et ‘ny voit aucun inconvénient. Et puis vous savez, c’est courant que je fasse essayer deux personnes en même temps ; mon petit salon est bien assez grand pour ça ; et puis vous essayez pratiquement des articles similaires, me dit elle avec un sourire

Un peu troublé, j’arrivai à l’étage, et je découvris effectivement une femme dune cinquantaine d’années, qui sy trouvait déjà. Elle tenait à la main un corset qui ressemblait assez au mien, et qui semblait être pour elle. Lucie nous présenta et dit à celle qui semblait être presque une amie : vous savez Laure, c’est le monsieur dont je vous ai parlé ; allez ne perdons pas de temps, nous avons du travail, tous les trois. Laure, déshabillez vous et passez ce corset ; j’ai fait les dernières finitions, nous allons voir si tout va bien. Quand à vous, me dit-elle, défaites vous aussi et je m’occupe de vous. J’espère que vous avez bien respecté ce que je vous avais demandé ; je n’ai pas envie de voir mon travail dévalorisé par des choses qui n’iraient pas avec ; pour tout vous dire, Lure, dit elle à son amie, qui avait entrepris de se dévêtir, jai demandé à notre ami, de porter une culotte de femme et des bas. Puisqu’il souhaite un corset de femme, je pense qu’il est logique qu’il soit en harmonie avec cette idée. Vous ne trouvez pas cela logique, laure, l’interpella-t-elle ?

Celle-ci parut un peu étonnée, mais répondit : Et bien, c’est la première fois que je vais voir cela, mais cela ne me déplait pas cette idée ; Lucie, on peut dire qu’on découvre toujours des choses avec vous. : rajouta-t-elle Laure finissait d’enlever ses vêtements ; c’était une femme pulpeuse, mais aux formes harmonieuses et appétissantes. Elle se retrouvait maintenant simplement vêtue dune sorte de combinaison crème, qui lui arrivait à mi-cuisses, et qui ne cachait pas , vu sa transparence, des bas couleur chair, un soutien gorge bien rembourré et une culotte, qui formaient un ensemble, non dénué d’intérêt pour moi. J’étais assez ému à cette vision dune femme mûre, mais très désirable, et je n’osais pas trop franchir le rempart qui me protégeait encore de leur vue, à savoir mon mince pantalon de toile. Lucie, sentant mon trouble, s’approcha de moi et me dit d’un ton qui n’admettait pas d’observation : allez, nous n’allons pas vous manger ; nous sommes entre nous ; enlevez moi ça ; je m’exécutai et me retrouvai à deux mètres d’elles deux, en culotte et bas , pas très fier mais dans une atmosphère de tension assez forte et excitante.

Parfait, me dit Lucie, en m’examinant attentivement, et me faisant tourner sur moi-même, elle ajouta à l’attention de Laure : que’n dites vous ? ce n’est pas désagréable, hein ? notre ami est bien fait. Laure me fixait, et presque dune manière obscène , n’évitait aucun détail de mon anatomie et de ma parure de lingerie. Je me sentais rouge et ému , mais je n’aurais voulu pour rien au monde, me trouver ailleurs que dans ce lieu.

Lucie amena son corset à Laure et lui dit : essayons le. Laure enleva sa combinaison nuisette ; je voyais maintenant nettement la forme de ses cuisses, voluptueuses et appétissantes, et sa poitrine assez volumineuse, supportée par son soutien-gorge. Elle dégrafa celui-ci, et étonnement ses seins apparurent dans toute leur fierté ; ils étaient lourds mais fermes et harmonieux.

Lucie lui passa le corset et lui enserra la taille fermement avec celui-ci ; cet ensemble lui donna tout de suite une silhouette affinée et diablement actuelle ; ses bas et sa culotte classique mais de bon goût, finissaient d’apporter une note attirante à cet ensemble. Je ne savais plus trop quelle attitude adopter ; je restais un peu gêné et les yeux fixés sur mes nouvelles complices, qui évoluaient devant moi sans aucune retenue, et avec assurance. Lucie appréciait son travail et vérifiait foule de détails sur les finitions et l’apparence ; elle touchait sans gêne aucune, Laure, qui se laissait manipuler et diriger.

Lucie glissa même ses mains sous les seins de Lucie, les soulevant ainsi en les saisissant à pleine mains , en lui demandant : est ce que vous êtes bien, pas de sensation désagréable ou de serrement ? En glissant ses paumes ainsi sous les seins de Laure, ceux-ci apparaissaient ainsi encore plus gros et gonflés. Lucie me prit même à partie, me demandant , tout en lui pétrissant la poitrine : qu’en pensez-vous ? est-ce que l’impression générale vous paraît bonne ? dites nous , vous qui êtes un amateur de corsets.

J’avalais avec peine ma salive, et je fixai ses doigts qui couraient avec fermeté sur sa poitrine, n’épargnant ni sa chair tendre et rebondie, ni parfois ses aréoles et ses tétons qui présentaient maintenant un aspect érigé sous l’effet de ce traitement sans ménagement. Lucie , satisfaite de son effet et de sa production, examina encore quelques instants Laure et son corset, puis déclara : c’est parfait ; je ne vois rien à modifier. Nous allons pouvoir passer à vous ; me dit-elle ; restez ainsi Laure, je veux noter quelques mesures avant de coudre définitivement. Mais ne restez pas inactive ; venez me donner votre avis pour notre ami.

Mon coeur battait la chamade, quand Lucie approcha mon corset de ma taille ; après me l’avoir passé, elle me fit pivoter et je la sentis f o r c e r dans mon dos, pour joindre les deux extrémités et crocheter les fermetures. Je me sentais compressé, mais je n’osai rien dire , me sentant totalement abandonné à son savoir faire et à son pouvoir. Laure s’était approchée curieuse et intéressée et toujours dans sa tenue similaire à la mienne, sauf que ses seins volumineux et rougis des manipulations de Lucie, surplombaient fièrement son ventre. Lucie semblait satisfaite, mais très minutieuse aussi ; elle me manipulait sans cesse, tirant sur le tissu, ajustant tel ou tel détail, glissant parfois ses mains sous le tissu ; l’harmonie du corset et du shorty noir que je portais n’était pas parfaite, mais quand même assez agréable ; le corset qu elle avait conçu à mon intention, était de couleur chair ; il descendait sous mon nombril, et s’arrêtait à hauteur de mes tétons, qu’il laissait apparents , juste en dessus de la couture. Ce corset était particulièrement serré sur moi et me comprimait le bassin et le ventre, sans que toutefois , je me sente mal ainsi enveloppé.

Bien au contraire, il me procurait sur tout cette partie du corps, une douce chaleur, qui ne faisait que se rajouter à mon trouble de la situation vécue. Lucie ajustait parfois aussi ma culotte, la tirant ou la remontant ; dans ces mouvements, elle agissait sur mon sexe qui ballottait et frottait sur le tissu au gré de ces mouvements. Sans arrêt elle prenait Laure à témoin, lui demandant son avis, lui faisant voir tel ou tel détail ; du coup, laure s’était approchée tout près de moi aussi et participait parfois aux réajustements nombreux quelles exerçaient sur ma tenue.

Toute cette ambiance et ces palpations ne manquèrent pas de me faire réagir, et imperceptiblement , mon sexe prenait de la vigueur , de l’ampleur, au fur et à mesure des picotements qui se propageaient en lui. Petit à petit, il glissa sur un côté du shorty aux volant de dentelles, et bientôt, il finit par dépasser glorieusement sous le tulle transparent de la culotte. Je sentais glisser et grossir mon pénis sur ma peau , jusqu’à ce qu’il apparaisse gonflé, rouge et tendu à l’extrême à droite de mon pubis. Et bien s’exclama Lucie, vous avez vu Laure, on dirait que notre ami ressent des choses fortes ; je crois que cela lui fait un effet terrible de porter cette lingerie.

Ce disant, comme pour accroître cette vision particulièrement érotique d’un membre gonflé sur cette dentelle noire, elle écarta d’un geste le bord de ma culotte de dentelle, et mon membre luisant de désir se projeta encore davantage à l’extérieur de la culotte, tout contre ma cuisse , et dans ce mouvement un peu brusque, s’étirant totalement, il se décalotta à demi , se présentant ainsi à notre vue, à la fois obscène et luisant de désir. Lucie et Laure, toutes les deux étaient maintenant totalement libérées et se sentaient prêtes à exprimer sur moi, toute l’emprise de leur volonté.

Elles me firent évoluer ainsi de longues minutes, me faisant marcher, tourner, et même me pencher, chacune des positions n’ayant pour effet que d’exhiber de plus en plus mon membre hypertendu et plus du tout caché par ma fine culotte de dentelle. Leurs remarques fusaient maintenant sans retenue, et se faisaient de plus en plus crues au fil de leur complicité grandissante. Lucie insistait particulièrement sur la féminisation que je subissais et m’interrogeait à tout bout de champ , sur l’effet que cela me procurait : alors, on se sent une vraie petite femelle comme cela , non ? elle me faisait cambrer à l’extrême , mettant mon cul en évidence pour le faire voir à Laure. Celle-ci, visiblement très émoustillée, se lâchait maintenant complètement : j’ai rarement vu un spectacle aussi excitant ; ce petit cul moulé dans un corset, avec cette ... bien raide et toute rouge. Je ne regrette pas de voir ça. Il est excité le petit salaud

On ne peut pas le laisser dans cet état la, Laure , dit Lucie ; il ne pourra pas se rhabiller ainsi ; il faut qu’il dégonfle son membre, tu ne penses pas ? Oui, tu as raison ; que proposes tu ? Et bien continua Lucie , en s’adressant à moi , voici ce que vous allez faire . Mettez vous debout, devant cette table de travail ; nous deux, nous allons nous asseoir de l’autre côté de la table, dans ces fauteuils en cuir ; nous vous regarderons , pendant que vous vous videz ; il faut faire sortir votre jus de cette grosse queue ; elle ne demande qu’à exploser de plaisir , tellement elle est excitée. Faites nous voir comment vous procédez..

Mettant en exécution leurs paroles, elles s’installent dans les fauteuils profonds, Laure toujours en corset, les seins à l’air, et vêtue de sa culotte beige, largement échancrée sur le haut de ses cuisses voluptueuses. Lucie, elle est toujours habillée, mais en s’asseyant sur le cuir, fait largement remonter sa jupe ample, dévoilant ainsi des bas noirs aux bordures de dentelles, qui viennent souligner le blanc de ses cuisses laiteuses qui apparaissent à nos yeux.

Toutes deux paraissent très excitées et je sens quelles ne veulent pas en rester la. Je me suis positionné , comme elles l’ont demandé, devant cette table de travail, assez basse ; mes genoux s’appuient légèrement sur le bord de la table, et en dessus, mon sexe apparaît dans toute sa splendeur, tendu et gonflé à l’extrême. Lucie m’ordonne de descendre ma culotte noire à mi-cuisses, afin de mieux m’admirer, me dit-elle , et elle me demande de commencer à me caresser doucement. Avec mes doigts, je frôle avec douceur mes couilles que je sens pleines et gonflées ; je les soupèse et les soulève davantage, pour les exhiber au maximum, au regard de mes deux partenaires voyeuses. Ma queue bien dressée , palpite au gré de ma caresse, que je prolonge sous les couilles, n’hésitant pas à appuyer par pressions, sur le périnée, ce qui renf o r c e encore mon érection et mon envie de jouir.

Ce spectacle, a l’air de plaire à mes deux compagnes, qui ne perdent pas une miette de mes gestes. Elles m’encouragent même , de la voix, tantôt me flattant sur mon anatomie, tantôt me dirigeant par des directives crues et vulgaires.

Laure semble la plus excitée des deux ; je l’entends dire dune voix trouble et émue : ce petit salaud m’excite drôlement ; il me donne trop envie de jouir ; et joignant le geste à la parole, je la vois de deux doigts, écarter largement le bord de sa culotte, nous dévoilant sa vulve rose et enflée, avec deux lèvres volumineuses bien dessinées, encore jointes, mais qui ne semblent que demander à s’ouvrir. J’ai les yeux troublés par mon désir toujours grandissant, mais il me semble distinguer nettement que le sexe de Laure est net de toute pilosité, ce qui le fait ressortir encore plus nettement et le rend plus h y p n o t i s a n t pour nous. Sans vergogne, et sans plus attendre, un des ses doigts sépare facilement ses deux lèvres gorgées de s a n g , et avec une facilité évidente due à une lubrification forte, elle entreprend de le faire coulisser de haut en bas , de son sexe, tout en poussant un énorme soupir de satisfaction.

Lucie regarde mon sexe turgescent que je masturbe maintenant à pleine main, et je la sens aussi très captivée, par la vision toute proche de Laure se doigtant profondément à ses côtés. Sans manifester autant d’exubérance, je vois nettement ses cuisses gainées de ses bas, se frotter fortement lune contre l’autre, et se contracter au rythme du plaisir quelle se donne. Sa jupe est encore remontée et une charmante mini culotte rouge est apparue en haut de ses jambes, ne cachant guère , un délicieux mont de Vénus, que je dévore des yeux.

Nous respirons bruyamment tous les trois, et poussons de longs soupirs de plaisir. Laure a maintenant positionné son majeur sur son clitoris, quelle a maintenant dégagé, et elle exerce sur son bouton tout rouge et dressé, de petites et rapides pressions circulaires, qui lui tirent des gémissements incessants. Lucie sent que son amie est proche du plaisir, et l’invective pour accroître encore davantage, celui-ci : Tu as vu, Laure, comme il astique sa grosse queue, ce salaud ? cela lui plait de nous la montrer sa ... toute rouge, tout en étant habillé comme une petite ... Branle toi bien, ma chérie ; je sens que tu aimes ça .

Effectivement Laure, est maintenant trempée entièrement, comme en témoigne, le clapotement que font ses doigts qui triturent sa chatte excitée. Lucie, sentant l’état second de son amie, a saisi ses tétons dressés entre ses doigts et les pince maintenant tous deux sans aucun ménagement. Laure a l’air d’apprécier fortement ce traitement de ses seins et gémit de plus en plus fort. Au bout de quelques secondes de ce régime , elle est secouée de longs soubresauts de tout son corps, qui manifestent l’intensité de sa jouissance ; dans un long cri : Oh Ouiiiii , elle resserre convulsivement ses cuisses sur sa main, alors que je vois Lucie lui pétrir fortement ses mamelles rougies.

Se remettant à peine de leurs émotions, toutes deux reportent leurs regards sur moi , et je vois briller leurs yeux d’excitation et de plaisir. Lucie, me dit la voix éraillée : le spectacle ta plu ? branle ta queue très vite, mon cochon . et Laure de rajouter : on a envie de te voir gicler, mon salaud . Déjà proche de la jouissance, leurs paroles me tétanisent de plaisir ; ma queue n’est plus qu’une bombe que je ne contrôle plus entre mes doigts. Je sens la sève monter dans ma tige, très v i o l emment , et sous leurs yeux révulsés, je gicle par saccades v i o l entes et longues, une quantité impressionnante de sperme , qui vient s’écraser sur la table nous séparant. Je continue de faire coulisser ma main tout le long de ma queue extrêmement dure, extirpant ainsi tout le plaisir retenu depuis le début de notre rencontre.

Lucie et laure, revenues de leurs émotions plus vite que moi, qui suis toujours dans un état second, s’affairent très vite autour de moi , attentionnées et satisfaites. D’un gant humide et chaud, elles nettoient minutieusement ma queue toujours gonflée, insistant avec un plaisir évident sur toutes mes parties intimes, et me traitant encore à présent, comme une petite femelle soumise à leurs désirs.

Une atmosphère de sensualité torride , voluptueuse, et quelque peu perverse, flotte dans l’air et nous enveloppe tous les trois. Et c’est comme dans un rêve, que j’entends Lucie me dire : Et bien, la semaine prochaine, nous continuerons les essayages ; le corset sera pratiquement au point ; mais nous avons d’autres choses à expérimenter ensemble, puisque vous semblez prendre goût à ce rôle de femme . Laure viendra m’aider à nouveau ; sa présence est utile à tout le monde. Et puis, j’ai peut être une autre surprise qui vous plaira, j’en suis sûre.

Fin

Maël

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Vivement la suite !!!
Très beau récit, j'aurais aimé trouver un magasin comme cela ...!une suite ?
Très belle histoire merci pour le partage.
Grisant, merci
Le corset c'est gênant et grisant effectivement
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